dimanche 15 juin 2008

Un jeu vidéo pour arrêter de fumer


La société Nintendo va développer un jeu vidéo pour arrêter de fumer, basé sur la méthode du célèbre Britannique Allen Carr qui avec ses livres et ses cliniques a aidé plus de 10 millions de fumeurs à abandonner la cigarette une fois pour toutes.

Le jeu, conçu par Ubisoft et Nintendo DS, sera disponible en novembre 2008, selon un communiqué.

Dans ce jeu intéractif, les fumeurs introduisent les détails de leurs habitudes tabagiques et sélectionnent le coach qui les aidera à appliquer la méthode Carr.

"Les joueurs peuvent se plonger totalement dans ce jeu où ils réalisent qu'il est en fait amusant d'arrêter de fumer", assure Christian Salomon, vice-president chez Ubisoft.

Ancien comptable, Allen Carr a fait fortune en 1983 avec ses manuels et ses cliniques pour arrêter de fumer, basés sur sa méthode "Easyway".

Gros fumeur ayant abandonné la cigarette à la quarantaine, il est décédé en 2006 à l'âge de 72 ans d'un cancer du poumon.

Déco couleur


Le beige
Couleur neutre, le beige est très utilisé en décoration. Plus chaleureux que le blanc pur et idéal comme toile de fond, il est le symbole d'un intérieur simple et élégant.

Le rouge
Couleur chaude par excellence, le rouge symbolise la passion et l’amour. Il dégage une impression de chaleur et donnera beaucoup de dynamisme à votre intérieur. Il suffit tout simplement d’oser !

Le gris
Le gris est une couleur neutre dont la palette, très large, s’étend du gris clair à l’anthracite, en passant par les gris rosés, les gris-vert et les gris-bleu, offrant une multitude de possibilités pour habiller votre intérieur.

Le noir
Regarder du noir, c’est ne rien voir. Cette couleur qui, en réalité, n’en est pas vraiment une, possède la propriété d’absorber la lumière. Dans un intérieur, elle va servir à souligner les lignes de l’architecture et à mettre en valeur les autres couleurs.

Le marron
Le marron appartient à la famille des couleurs chaudes. Tirant son nom du fruit du marronnier, il évoque la nature dans laquelle il est très présent. Riche de nombreuses nuances, il s’inscrit parfaitement dans les mouvances écolo et exotique qui envahissent nos intérieurs.

Le violet
Côté déco, les couleurs sombres rencontrent un vif succès. Si elles donnent un côté “chic“ à une pièce, elles peuvent être pour certains un peu trop radicales. Le violet est dans ce cas la bonne alternative car il allie à la fois profondeur et luminosité.

Le rose
Souvent considéré comme la couleur de la féminité, le rose se décline dans de nombreuses teintes pour des ambiances qui peuvent être enfantine, glamour ou chic. Une couleur qui revient sur le devant de la scène et qui a désormais toute sa place dans nos intérieurs.

Le bleu
Le bleu est l’une des couleurs préférées des Occidentaux. Elle est donc très utilisée en décoration. Du bleu marine au bleu turquoise, en passant par le bleu gris et le bleu ciel, ses nuances sont si nombreuses qu’elle peuvent s’adapter à tous les goûts et tous les styles d’intérieurs.

Le vert
Appartenant à la famille des couleurs froides, le vert apporte une touche de fraîcheur et de nature à un intérieur. Couleur stimulante par excellence, elle se décline en de nombreuses tonalités qu’il faut savoir adapter aux différentes pièces de la maison.

L'orange
Association de jaune et de rouge, l’orange a pendant longtemps été jugé trop criard. Bien utilisé, il revient aujourd’hui sur le devant de la scène pour des déco vitaminées.

jeudi 15 mai 2008

Maroc: un Français lance le premier spectacle de cabaret compatible avec l'islam

Le collant remplace le string pour le french cancan, le body des danseuses est rehaussé de voiles, le débardeur cache la nudité des acrobates, le baiser se pose sur la joue: un Français lance à Marrakech la première revue de cabaret compatible, selon lui, avec l'islam.
"Ce n'est pas le Moulin Rouge car nous ne sommes pas à Paris, ce n'est pas le cirque du Soleil. Ici, j'offre du rêve en respectant la culture du pays", affirme Claude Thomas, 49 ans, qui a lancé le 8 mai "Les Folie's de Marrakech".
Pour cet homme qui a monté depuis 15 ans des spectacles de music-hall d'abord à Lille, dans le nord de la France où il est né, puis au Japon, au Canada, et dans l'Etat américain du Nevada, à Reno et Las Vegas, il s'agit d'un changement radical.
"C'est bien la première fois que j'ai autant de beaux corps à montrer et que je dois les cacher. Je fais ici un cabaret à la mode musulmane car le but est d'avoir un produit qui soit 100% Maroc et 100% Folie's", confie en souriant cet artiste qui a investi avec son cousin 10 millions d'euros dans ce projet pharaonique.
"Pendant une heure et demie, le public assistera à un tour du monde enchanteur avec des magiciens, des acrobates, des pirates, un homme faucon volant dans la salle, des fontaines magiques, de la danse, de la musique et de l'humour. Je fais du cabaret pour plaire", dit-il.
Mais, islam oblige, il a chaque fois pris conseil auprès d'une passementière voilée de la troupe. "Quand elle me dit que le vêtement peut choquer, je le modifie tout en gardant sa magie", dit-il. Dans le french-cancan traditionnel, il a aussi changé la manière de porter les filles.
Las de se heurter aux lois sociales et après quelques déconvenues, il vend en mai 2006 son cabaret en France et vient passer quelques jours à Marrakech où il s'enthousiame pour ce "nouveau Las Vegas". Le consul du Maroc à Lille lui conseille d'employer le mot "music-hall" plutôt que "cabaret" et le met en contact avec le "wali" (préfet) de la ville rouge.
Avec son cousin, il achète 5 hectares et construit une salle de 2.000 m2 pouvant accueillir 1.100 clients pour un dîner-spectacle qui coûte 550 dirhams (50 euros). Il auditionne 300 acrobates, cracheurs de feu, voltigeurs, break-danseurs à travers le royaume et en sélectionne 47 dont 12 filles, âgés de 17 à 32 ans.
"Ils sont issus de tous les milieux, de la bourgeoisie de Casablanca aux enfants des rues de Salé", assure-t-il.
Il recrute aussi cinq chorégraphes pour former la troupe, à raison de quatorze heures par jour durant neuf mois, à l'acrobatie aérienne et au sol, à la voltige, la danse, le chant et la comédie.
"La plus grande difficulté, c'est que les Marocains ne croient pas être capables de prouesses et sont étonnés quand ils réussissent", assure le chorégraphe canadien d'origine cubaine Santiago Martinez, 37 ans.
Lui aussi a adapté sa mise en scène aux règles de l'islam. "Un jour, je leur ai demandé d'avancer les bras en deuxième position (en croix), mais ils ont refusé car cela ressemblait au Christ. Alors je leur ai proposé de les lever plus haut", explique-il en souriant.
Seul point sur lequel Claude Thomas s'est montré intransigeant, l'égalité entre garçons et filles: il a refusé qu'elles débarrassent la table. "Je respecte votre religion et j'ai même créé une salle de prière, mais ici tout le monde est un artiste quel que soit le sexe", leur a-t-il lancé.
"C'était très dur de devenir un professionnel, mais aujourd'hui je pense que nous sommes sur le point de réussir", assure la vedette du spectacle, Imad al Machriki, 19 ans, qui était funambule à l'école du cirque de Salé. Parallèlement à l'entraînement, il a repris l'école qu'il avait abandonnée à 13 ans. Son rêve est désormais de monter des spectacles.

Chaque femme est un roman


Jardin ne s’en fait pas. Il écrit « roman» sur la couverture. C’est cela, oui (à prononcer avec la voix de Thierry Lhermitte dans Le Père Noël est une ordure). On appelle ça se moquer du monde. Il raconte sa vie. Sa façon est de le faire à travers les femmes qui ont compté pour lui. Il y en a un paquet : la voisine d’en face, une lesbienne paparazzo, sa banquière, une institutrice de CM2, une nommée Liberty. Au premier rang se tient sa mère : « Dans la savane de mes souvenirs, je traque les gibiers de sa classe. » Rude concurrence. Mme Jardin bouscule le quotidien, fait mordre la poussière à l’habitude, brûle les livres, vend ses maisons.
Alexandre a été à bonne école. Il a mis du temps à devenir déraisonnable, c’est-à-dire à ressembler à son père, le fougueux Pascal. Ils ont désormais en commun cette manière de fouetter la langue, de redonner du lustre aux adjectifs, d’échapper à la redoutable espèce des gens de lettres. Un salubre courant d’air circule dans ces pages qui se conjuguent au féminin. Un éditeur se fait greffer un ballonnet dans le cerveau pour stimuler sa libido. Une Japonaise exaltée confond l’auteur avec Daniel Pennac. Une romancière indienne claque sa fortune en cinq jours à Rome avec Gérard Depardieu et Helmut Berger. On ne croit pas une seconde à ces aventures farfelues, mais c’est ça qui est bien. Finalement, ça n’était pas idiot de dire qu’il s’agit d’un roman.

jeudi 17 avril 2008

15 bijoux fantaisie à petits prix : oreilles fleuries

Des bijoux pour satisfaire les envies de toutes!
http://www.linternaute.com/femmes/luxe_mode/magazine/selection/15-bijoux-fantaisie-a-moins-de-30-euros/15-bijoux-fantaisie-a-petits-prix-oreilles-fleuries.shtml

Internet, un monde virtuel à la voracité énergétique bien réelle.


Hannovre - Quel point commun entre un personnage virtuel du site Second Life et un habitant du Brésil? Tous deux consomment en moyenne la même quantité d'électricité chaque année, une comparaison qui illustre la voracité énergétique d'internet.